Kelkack Irnook

[Kelkack Irnook]

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Informations concernant votre personnage:

Prénom et nom: Kelkack Irnook



Histoire passée:
Nomesse est une planète brulante, plus encore que Tatooine, mais d’une humidité étouffante. Vivant dans des villes-bulles, pour échapper à ce dernier facteur – l’espèce ne craignant plus la chaleur – le peuple de Kelkack vit « paisiblement » étant une race en général pacifique, il arrive que des petites guerres éclates entre villes trop proche pour des questions de ressources ou de place. Ces guerres ne font plus de morts depuis longtemps, les droides ayant remplacés les soldats depuis plusieurs générations.
Là-bas, les guerres sont économiques, la première cité à manquer de ressource a perdu, ce qui fait que les batailles ressemblent plus à un immense jeu d’échec qu’un un cimetière.
Formé depuis sa plus tendre enfance a cette vision très matérielle de la vie, Kelkack à grandit dans une famille de marchants. Ses parents – au nombre de trois – étaient parmi les rares à voyager jusqu’à Tatooine, ramenant sur leur planète les armes dernier cris pour en équiper les robots de la cité, offrant un net avantage à leur armé et leur permettant d’étudier les dernières technologies galactique via l’armement.

Mais, en accompagnant ses parents dans leur périples, le petit Kel tomba amoureux des sables de Tatooine. Ce climat étrangement sec et frais – pour lui – le charma, tout comme ces infinités de dunes dorées qui se profilaient à l’horizon. Pour lui, c’était un monde digne des rêves, cela alimenté l’un de ses pères lui parlait sans cesses des possibilités inexploitées de cette planète aride.
Plus tard il prit conscience du taux de crimes monstrueux, de l’esclavage, de la misère et de tous les autres problèmes qu’il y avait, mais, au lieu de décourager le jeune marchant, cela l’encouragea. Suivant la voie de ses parents, il fit, au début, du commerce d’arme vers sa planète mais, très vite, en augmentant légèrement les marges, il économisa. Contrairement à ses géniteurs, Kelkack préféra s’installer sur son lieu d’achat, envoyant des cargos chez lui pour revendre les armes.
Pendant cinq longues années le jeune Nomestien fut un boutiquer parmi tant d’autre mais, au bout d’un certain temps, il finit par attirer l’attention des « autorités » locale, à savoir, les Hutts. Ces derniers, pour tout dire, l’appréciais assez, achetant des tonnes d’armes il blanchissait en réalité leur argent – ce qu’il savait très bien – car il achetait en général des armes qui ne se vendaient pas ailleurs, enfin, pas sans contrebande.

Il les déçut cependant en refusant d’entrer à leur service. Mais il trouva un bon prétexte. Effectivement, ainsi, libre de toute suzeraineté ostensible, il pouvait en effet réguler les vente d’arme des autres groupes et, en cas de gros arrivage, prévenir les Hutts. Cela convenait a ces dernier et – en prime – évitait au marchant de payer une « taxe » d’appartenance.
Pour tout dire, Kel n’avait rien contre la race des limaces : leurs homme de mains était en vérité ce qui se rapprochait le plus de forces de l’Ordre et, tout malfrats qu’ils soient, ils respectaient les lois de leur maitre et les faisaient respecter. Sans cela, plus que dans la misère, Tatooine eut sombré dans le chaos.

Mais il comprit vite que s’ils évitaient un chaos constant, il n’était pas rare que les Hutts changent d’avis et si, les premier mois, il réussit à passer à travers les mailles du filet, il ne tarda pas à se faire repérer et, contrairement au premier venu, le second agent de la pègre ne lui laissa même pas le temps de le convaincre. Sa petite entreprise fut saisie, tout comme ses vaisseaux, les marchandises qu’ils contenaient et quasiment tout ce qu’il possédait. Même ses cachettes – car toute personne un tant soit peu intelligente en possède sur Tatooine – furent vidée par les hommes de Jabaa, prétextant de rembourser les cotisations qu’il devait depuis plusieurs mois.

Si ce fut un coup dur autant pour le Nomestien que pour ses affaires, il fut toutefois heureux de s’en sortir vivant et de ne pas avoir dut rencontre le patron en personne.
Il apprit plus tard par sa famille qu’une des villes de sa planète avait signé un contrat avec la pègre locale pour qu’eux seuls puissent acheter des armes sur Tatooine, obligeant les autres à aller beaucoup plus loin, entrant dans les territoires des pirates spatiaux et se frottant parfois aux autorités républicaines.
Voulant malgré tout rester sur la planète désertique Kelkack se retrouva très vite seul, sa famille partit à la recherche d’autres marchés moins risqués et plus fleurissants. Il ne restait au marchand qu’une minuscule part de ses économies – un compte en banque anonyme de quelques milliers de Dataries qu’il s’était empressé de vider avant que Jabba ne le remarque – et ses mains pour s’en sortir.

Il devait repartir de zero…

Description physique:
Il est rare de croiser un être ressemblant, de près ou de loin, à Kelkack. D’une carrure imposante, dépassant d’une tête la plupart des Wookies, il est d’une forme longiligne assez improbable, aucun bras ne venant dépasser de son corps lisse. Seules ses pattes, larges arcs noirs et luisants, dépassent de la base de son corps, leurs bouts hérissés de pointes arrondies. Faites de chitine dur, ces quatre soutiens lui permettent de se déplacer plus vite qu’on le pense possible au premier abord, atteignant facilement la vitesse d’un humain en marche et pouvant même courir. Le reste de son corps et fait d’un cuir sombre et souple, légèrement luisant et très épais, il recouvre la quasi-totalité de son être, tombant même au sol, entre ses pattes, en larges pans. Seule une zone est découverte, laissant apparaître une large bande de thorax chitineux sous une tête allongée au bout d’un cou long et épais. On ne peut faire de lui un portrait expressif, en effet pour des yeux humains ce n’est qu’une face quasi reptilienne, dotée d’une large bouche garnie de dents plates, surmontée de fins naseaux. Ses yeux sont d’un blanc pur, dénués d’iris et de pupilles, ils luisent légèrement dans les ténèbres.
Sur son « dos », au sommet de son être, se dresse, dans des trous de cuir craquelé, des pointes chitineuses d’un noir luisant et de tailles variés mais a l’aspect… aigus. Si ce n’est les suicidaires, personne ne sautillerait joyeusement sur les épaules de notre Nomestien.

S’ils ne sont pas apparents, ce dernier possède toutefois des bras, et même deux paires. Fins et osseux, ces membres se cachent sous les pans de cuirs qui recouvrent Kelkack, celui-ci ne les sortant que quand le besoin se fait sentir de manipuler un objet ils sont faibles bien qu'assez adroits. Il n’est pas rare qu’ainsi dissimulée, une de ses mains tienne un blaster - et inutile de dire que peu de pickpockets se risquent à fouiller à l’intérieur du corps de leur cible.

Description psychique:
Les personnes qui ne connaissent pas bien Kel vous diront, en général, que c’est une personne douce et gentille. D’autre, qui ne le connaisse pas plus, dirons que c’est quelqu’un de dangereux dont il faut se méfier.
En réalité, le Nomestien est une personne profondément bonne… dont il faut se méfier. Le tout est que ces deux facettes sont rarement montrées aux mêmes personnes. D’une intelligence rare, cet être a su se faire une place dans le monde rude qu’est Tatooine. Dans ce désert on rencontre tout type d’individu, de l’esclave désespéré au pire des tueurs en série en passant par tout un panel d’individus plus ou moins fréquentables… avec une nette tendance vers le moins.
Donc, s’il est une personne d’une gentillesse rare, Kelkack reste loin d’être un imbécile et il se doute bien que la gentillesse seule ne résoute pas grand-chose et, comme lui a dit un jour un des hommes de main de Jabba « On obtient plus de choses avec un blaster et un mot gentil qu’avec un mot gentil tout seul ! ». Notre Nomestien a bien compris la leçon et il n’hésite pas utiliser les méthodes les plus « expéditives » en cas de problème.
Marchand né et doté d’un sens de la persuasion des plus efficaces, Kelkack est quelqu’un à qui il est difficile de dire non et il est rare qu’un acheteur reparte les mains vides et le porte-monnaie plein d’un entretien avec lui.

Pourtant, il n’est pas fondamentalement cupide, non, l’argent n’est pas à ses yeux une fin, mais bien un moyen. Et c’est grâce à ce moyen qu’il vient en aide aux gens, devenant ainsi un « gentil » Attention, il n’est pas un robin des bois inutile et prétentieux, non, vous ne verrez pas Kel distribuer de l’argent au pauvres – argent qui retournerait entre les mains de la pègre locale sur l’heure. Il vise les actions utiles à long terme.
Inverse du poing d’acier ganté de velours, il montre une carapace dure et fermée au monde mais ne pense en réalité qu’à l’aider du mieux qu’il peut. Enfin, Tatooine du moins, pour le reste…

Race: Nomestien.
Originaire de la bordure extérieure, c’est une espèce apparemment pacifique que l’on ne croise que rarement, ses membres préfèrent en général rester sur leur monde natal, la lointaine Nomesse-8B32. Le climat de cette planète est ce qu’on appellerait « tropical » mais d’une façon totalement extrême, avec une humidité atmosphérique qui dépasse les 40% et une chaleur atteignant des pointe de 70° durant les périodes estivales. L’espèce c’est donc développée pour résister aux pluies diluviennes, formant une peau lisse qui dévale le long de leur corps, de couleurs noires – les rayons du soleil n’étant pas un problème dans cette atmosphère nuageuse – ou grise, ces cuirs épais emmagasinent la chaleur protégeant le centre de leur corps. Etant des proies dans la chaine alimentaire de leur monde – même si le développement de la technologie à changer la donne- c’est une espèce qui possède un remarquable odorat, lui permettant de remarquer toute présence suspecte – à moins que cette dernière n’ai aucune odeur…
Vivant en large clans, installés en villes – souvent rivales – les familles comportent trois parents, asexués, les reproductions sont quasi-rituelles et n’engendre pas de désirs charnels comme celles de la plupart des races. Assez casaniers en général, les Nomestiens quittent rarement leur planète natale mais, quand c’est le cas, c’est souvent pour arpenter la voie du commerce ou celle de la mécanique. Grands constructeur de droides, ils répugnent à se battre par eux même quand ils peuvent faire autrement, assez peu engagés politiquement – à échelle galactique – il arrive de les croiser a de petits postes à faible responsabilités mais il ne sont affiliés à aucune faction en particulier.

Métier/Classe envisagé: Marchand
Planète de départ: Tatooine
Talent 1: Baratin
Talent 2: Sens évolué : Odorat

Statistiques:

Caractéristiques:

PUI: 10 +
CON: 10 + 2 + 1
RAP: 10 +
DEX: 10 + 1 + 1
INT: 10 + 3 + 2
DIS: 10 +
PER: 10 + 1
CHA: 10 + 3 + 2

Bonus Compétences:

Armes de Tir: 10
Commerce: 25
Rhétorique: 10
Intimidation: 5

Projets futurs de votre personnage

Dépossédé de tous ses biens, il compte bien se remettre sur pieds le plus vite possible et, cette fois, il ne s’opposera pas aux Hutts. Sa principale source de revenue - la revente d’armes à sa famille - n’étant plus d’actualité, il lui faut aussi trouver un nouveau marché dans lequel s’intégrer…

[Baal]

Alors, en principe, on n'accepte pas les nouvelles races. Personnellement, ça me dérange pas plus que ça, mais cette politique n'est pas sans fondement : ça évite les espèces cheatées. Ici je vois une stature de colosse, des bras dissimulés (avant de lire ça j'allais accepter tout de go), un odorat évolué...

Je refuse pas tout de suite, je voudrais d'abord voir ça avec toi. Jouer un pj de ce gabarit (espèce inventée ou pas n'est pas ici le problème) requiert un certain niveau rp pour :

- d'une, rester conscient des inconvénients. On ne peut pas tout avoir, faire 3 mètres mais quand même passer par des portes étroites, et dans ton cas, escalader un mur aussi facilement qu'avec 2 pieds 2 jambes etc. Sachant que tu joueras sur Tatooine, où j'officie, je serai intraitable sur ce genre de détails. Si tu veux avoir ce tank pour avatar, faudra composer avec les défauts impliqués par sa physionomie. L'histoire des quatre bras me laisse justement perplexe sur ce point. "Un" bras m'aurait moins fait tiquer.
- ne pas jouer les grosbills en se déclarant ultra puissant. Car si tu peux bien sûr dire que tu utilises ta masse pour terrasser un ennemi, c'est du rp pur. Statistiquement parlant, tu seras aussi fort qu'un autre joueur ayant choisi un Jawa et réparti ses caracs de la même manière. A la rigueur je peux appliquer un modificateur de race (ici ce sera -2 agilité + 2 force je dirais).

Or, si ça sent pas le boulet, ton niveau reste largement perfectible (+ l'orthographe à surveiller en se relisant). C'est moins du mépris qu'un constat, j'étais moi même joueur pis que nul il y a 6 ans.

Donc, est-ce que tu te sans capable de faire ça ? Il s'agit bien du physique, la novation dans univers tel que star wars ne pose pas de soucis, on a bien vu des lapins télépathes (voire des lapins géants), et il y'a des centaines de mondes dont on a jamais parlé. Si jamais j'accepte, ce sera à ces conditions (je t'épargne le "sinon"). Revoir les bras au rabais pourrait également me convaincre : o

[Kelkack Irnook]

Ensuite, je suis parfaitement conscient des défauts de la race que j'ai créée, ne vous inquiétez pas, vous ne le verrez pas sauter, escalader quoi que ce soit. Mais, aussi, jamais porter d'armure ou de vêtement - je doute de trouver un tailleur adapté sans débourser des sommes astronomiques - Je ne joue pas ici un guerrier et je ne pense pas utiliser cette masse comme un avantage au combat, croyez-moi. Et pour ce qui est de l'odorat, ce n'est en rien un avantage de plus : juste un de mes deux talents.

Bon, je me rends compte que j'ai - clairement - abusé sur les bras, quatre étant bien plus réalistes que quatre Paires... Je viens donc de le corriger a l'instant mais, si cela dérange toujours je peux revenir à une bonne vielle paire de membres.

Enfin, je serais plutôt d'accord avec l'idée du malus en agilité mais, je n'avais pas le droit de me retirer des points pour les mettre ailleurs si ?
Mais je pense qu'un "-2 agilité, +1 force, +1 constitution" serait plus logique, Kelkack ne faisant en réalité pas preuve d'une force hors norme si ce n'est celle que lui confère sa masse.

Enfin, si ma race dérange tout de même, dites-le, j'en changerais. Ce n'est pas ce qui manque dans l'univers et j'en trouverais bien une qui me convient sur Holonet ou Anakin... Je n'avais vu nul part qu'il ne fallait pas faire de races inventée...

Merci de m'avoir répondu. Et bonne soirée.

PS : Oui, j'avoue, il faut que je me relise encore pour les fautes mais, à chaud, la moitié m'échappe toujours...

[Baal]

Soyons pratiques :

- Force : clairement, c'est pas une interdiction. D'autant plus que je déteste les mission dite "de classe". Si tu joues un marchand à Mos Eisley, tu ne feras pas que commercer. C'est simplement une mise en garde : ton avatar ne te donne aucun bonus in game. Mais en rp pur, ça ne pose pas de soucis d'exhiber sa masse. En somme : tu ne pourras pas jouer les grosbills (cherche Morvar Hull à la Villa : o) - pas au début du moins.

- Odorat : c'est bien justifié pour le talent, va pour.

- Modificateur : va pour aussi

- Bras : 4, ok s'ils sont chétifs et atrophiés : o Ce serait abusé d'avoir des bras robustes et longs pressés contre la vessie. Ca compenserait suffisement l'avantage d'une telle physionomie.

- Fautes : écris sur Word (ou openoffice qui est gratuit), c'est salvateur, en plus de permettre de s'améliorer à la longue.

J'insiste une dernière fois : un tel PJ peut être très intéressant à jouer, mais c'est pas tout le monde qui pourrait s'amuser avec. Ca revient à peu près à jouer un Hutt, bref, avec des contraintes physiques importantes.

Sauf à avoir des objections, je crée ta fiche après répartition des... 6 points bonus (carac), et tiens déjà compte du modificateur.

Enfin, ma vieille rengaine : trouve lui des défauts, et si c'est déjà le cas, joue dessus. Plus marrant de jouer un soldat froussard qu'un héros.