Dwen Urgaun [F0R0E0]

[Dwen Urgaun]

Fiche d'inscription à Swlrpg

Informations concernant votre personnage:

Prénom et nom:
Dwen Urgaun

Histoire passée:

Dernier enfant d'une fratrie décimée par les abus des Hutts, Dwen Urgaun a toujours vécu sur cet immense désert peuplé par endroits baptisé: "Tatooine", à Mos Esley. De jours simples, de petites rencontres, d'infimes joies et de grands maux dans une famille sans le sou, Dwen grandit et échappe à sa condition uniquement grâce aux vieux holodisques d'anatomie organique que son père a conservés de ses acquisitions de paris. Inlassable, le petit Dwen les holovisionne des jours entiers, facsiné par ces mots qu'il ne saisit pas parfaitement, et ce secret intemporel qui, il le pressent, se cache derrière les zones corporelles et les organes désignés. Cadet dans une fratrie de trois, ni bienheureux ni malheureux dans ses journées rythmées par les quelques holodisques, les corvées ménagères, les rares jeux d'enfants, une matinée suffit à ce que Dwen Urgaun ouvre à jamais de grands yeux vigilants sur la cruauté du monde de sable qui l'entoure. Le pensif Dwen voit périr son frère aîné quand un sbire des Hutts, agacé par une moquerie taquine -imprudence mais sincérité de la jeunesse- se venge de la remarque caustique et de l'humour ravageur de Klavo Urgaun. A 16 ans, dans une ruelle aux murs froids où brûlait la lourdeur de l'air ambiant, un coup de blaster en plein front vint trancher sa jeune vie, et il tomba dans un recoin sablonneux dont il ne connaissait pas le nom. Témoin de l'exécution sommaire du jeune Klavo, le petit Dwen, âgé de dix ans, survécut par miracle. L'agresseur de son frère négligea l'insignifiante présence d'une silhouette tremblante et recroquevillée, laquelle rentra piteusement, tétanisée, au taudis familial encastré dans les faubourgs de Mos Esley. Madol Urgaun, son père, ne sait encore rien du choc terrible de son troisième fils et de la perte de son aîné, il n'en saura d'ailleurs jamais rien. Tandis qu'il s'apprêtait à interroger son cadet au sujet de son mutisme inquiétant et de sa pprostration volontaire, des coups frappés du poing retentissent contre la porte en plastacier foncé de la vétuste demeure. A peine ouverte, deux Weequays, munis de blasters à leur ceinture, s'adressent à Madol dans une langue incompréhensible pour le petit Dwen, celui-ci ne comprenant que le langage universel. Madol appelle alors son benjamin, âgé de 13 ans, Nilo, et se penchant lui susurre quelques mots à l'oreille, joints de signes discrets. Le jeune garçon scrute son père avec intensité, puis le regard grave et le visage dénué de toute expression faciale, saisit le bras de Dwen et le pousse avec une douce fermeté vers la chambre du fond attenante, et tire le rideau de lin marron derrière eux. Volent les éclats de voix en cette langue inconnue, à laquelle se mêle les exclamations paternelles, puis la porte claque et le silence retombe, palpable dans sa pesanteur. Nilo s'aventure à écarter le rideau, fait signe à Dwen qui ne comprend pas le plus petit évènement depuis que le temps s'est suspendu ce funeste matin-là. La pièce est vide, un verre roule en oscillant de çi de là au sol de la masure. Nilo, le souffle court, pivote sur lui-même, le visage hagard, le regard perdu. Et parmi les pleurs, vérités et secrets échangés cette nuit-là, le temps prend son vol inéluctable.

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Quatorze années se sont écoulées, quatorze ans de peine, mais malgré tout, également de bonheurs infimes. Première sortie dans les dunes, premier alcool à la cantina du quartier, la moins malfamée de Mos Esley, premier amour, et surtout premiers - toujours plus nombreux- petits travails, permettant à Dwen sinon de subsister, du moins de vivoter à Mos Esley. Quand dans la soirée s'assoupit la fournaise des jours de Tatooine, Dwen, accoudé au rebord d 'une table circulaire à pied de la cantina, un souffle d'air conditionné lui parcourant la nuque, repense avec mélancolie au tour de son existence et au destin de sa famille. Ce soir, à l'écart du comptoir et de la rangée de pilotes, trafiquants, joueurs et escrocs de profession, Dwen lutte contre l'apitoiement et se concentre avec force difficultés sur le vieil air de musique Bith qui alimente l'ambiance de repaire insalubre quoique vaguement fréquentable de la gargotte. L'air sombre, le visage dur et fermé, ill devrait se sentir guilleret, mais tout juste grisé par son verre, Dwen ne peut s'empêcher de penser. Enfin prêt, après avoir recueilli, à force de parcimonie et de sacrifices, les connaissances suffisantes pour prétendre accéder à une formation médicale de bonne qualité. Exercer une activité, sinon officielle, au reste officieuse, de soignant itinérant. Agé de 24 ans désormais, Dwen sirote sans apprécier, comme insensibilisé, le goût de son alcool favori, enivrante mixture bulleuse aux couleurs vives et aux saveurs exotiques. Les ragots et confidences distillées à voix basse, Dwen Urgaun y prête une bien piètre attention, toutefois il ne manque pas de remarquer, accusant un retard coutumier, l'entrée de Nilo dans la cantina. Son sens de l'observation lui permet de reconnaître à coup sûr la démarche chaloupée de son grand frère quand il pénètre l'antre de jeu. Nilo se faufile jusqu'à Dwen, le flanque dans le dos d'un geste gaillard.

Nilo:
"Frangin, quelle journée!".

Dwen, perplexe, examine les yeux rieurs de son frère comme s'il pouvait en sonder l'esprit. Nilo, grand frère robuste aux cheveux de paille comme Dwen est né et demeuré filiforme et brun. Ne serait-ce le cheveu, tout les oppose et les éloigne désormais. Quelques traces de cambouis parsemant son visage, Nilo ne se formalise guère du peu d'enthousiasme de son frère.

Nilo, levant les yeux au plafond:
"Maussade comme à l'accoutumée, bon."

Touché dans sa curiosité, Dwen rétorque:
"Grande journée?.."

Nilo:
"Eh oui, quoi, je viens de finir plus tôt, je parviens à réparer ce fichu droïde -ah, un micro câble d'alimentation débranché, une aubaine tu sais!- et devine...!"

Dubitatif, Dwen joue néanmoins le jeu du suspens et lève un sourcil qu'il espère interrogatif.

Nilo jubilant:
"Je gagne aux courses! Ah ah ah ah ah! Yioooouuuu! Notre rêve frangin! de quoi me payer un aller simple pour ailleurs! Je pars!"

Dwen Urgaun n'en revient pas, tout compte fait, lui non plus. Ces jeux de courses de racers stupides, qui ont surement coûté la vie à son père, brisé leurs espérances, Nilo s'y adonne...oui... Mais... Nilo gagne? Nilo part?

Dwen:
"Félicitations, mon frère! Mais quand pars-tu?"

Nilo:
"Ce soir, demain, qu'importe, au diable ce trou miteux! Je refais ma vie, cap sur Alderande, par le prochain transport galactique!"

Dwen, ébahi:
"Alderande, mais c'est au moins à deux ou trois parsecs d'ici!"

Nilo:
"Tout juste petit frère, et loin des Hutts, loin des voyous, rançonneurs, des hommes des sables, des comptes aux paris, et ci-vi-li-sé. Entends, par là-bas, 'paraîtrait qu'on respecte les bricoleurs dans mon genre tu sais."

Dwen arbore subitement un sourire rayonnant, son visage terne retrouve des couleurs quand le rouge lui monte aux joues. Quelque peu remué mais aussi inquiet, il taraude son frère:
"Mais ne vas-tu pas vivre chichement là-bas?"

Gêné, Nilo répond:
"Ah, heu, oui, pourtant vois-tu, tout vaut mieux que ce dépotoir, et je dis ça, ça vaut pour toi aussi! Quand vas-tu te décider à tenter ta chance dans un secteur digne d'efforts? Moi je ne suis pas un mauvais mécanicien; mais toi quand tu seras doc, tu vas courir le petit paiement des clampins du coin? Laisse-moi rire!"

Sa gaieté ravivée, il reprit:

"Et puis zut, partir, enfin, dans l'espace, écoute, il faut que tu m'accompagnes, on peut créer une entreprise de choc sur Alderande!"

Dwen, pensif, coupa court aux projets de son frère:

"Je ne viens pas avec toi."

Nilo:
"Et pourquoi?... Tout ce qui nous manque se trouve sur les autres planètes, et à des prix intéressants, plus qu'ici à ce qu'on dit, et pas au marché noir. 'Puis les banques sidérales on peut discutailler du taux d'intérêt, alors qu'avec les Hutts... enfin tu sais."

Dwen prit un instant pour réfléchir aux propos de Nilo, puis répliqua:
"Tu sais, je crois avoir désormais les compétences nécessaires pour soigner convenablement. Je veux dire sans couper un membre pour une allergie au foin de Bantha. Sur Alderande, combien de médecins renommés et d'abord pourquoi faire appel aux migrants? Comment m'établir si je le veux? Ici je peux acheter au moins de quoi guérir certains maux, tandis que là-bas, je n'ai aucune garantie... en admettant que je puisse m'offrir le trajet, ça peut prendre des mois, plus, qui sait, pour trouver un maître en médecine, qualifié, qui accepte de m'enseigner. Et crois-tu que ce serait à titre gracieux? Allons, non, les gens d'ici pourraient avoir besoin de soins. Entre nous, ici ou là-bas, à conditions d'exercice différentes, je préfère encore Tatooine, ce serait du pareil au même ailleurs, mais au moins notre fange natale, je la connais un peu.

Nilo, presque livide, maugréa: "Imb....! Mais tu laisses passer une chance fantastique de devenir un vrai clinicien, tout ça parce que monsieur à le mal de l'espace? Si ça ne marche pas, tu rentreras à Tatooine, voilà tout."

Dwen reprit son frère:
"Tatooine, j'y suis déjà, et je préfère tenter ma chance ici. Mes économies me permettront d'obtenir du matériel, pas de payer des frais d'astroport. Tu comprends?"

Nilo se tut, songeur, puis en souriant acheva:
"Je t'aime frangin tu sais, mais entre nous je crois que tu fais une belle bêtise. Enfin, prends soin de toi, moi les affaires m'appellent!"

Nilo avala le fond de sa bière, tandis que Dwen répondait:
"Je comprends. Contacte-moi quand même de temps à autre, ah, et, Nilo, gaffe aux paris, tu n'en as plus besoin maintenant.. à ce popos, tu as gagné combien?"

Nilo, décernant un clin d'oeil:
"Bien assez pour couvrir mes frais, et en vendant ce qui me revient du stock de récupération, peut-être bien de quoi ouvrir ma p'tite boutique."

Dwen enlaça Nilo, et lui glissa:
"Alors bonne chance, tu me manqueras."

Nilo:
"Toi aussi Dwen."

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Demeurant seul un court laps de temps, Dwen quitta la pénombre de la cantina et se réfugia dans la noirceur tombante de la nuit chaude. Quelques droïdes conversaient sur des questions de protocole, des gamins sans foyer couraient le long d'une venelle transversale...

Dwen inspira profondément, humant l'air aride de Mos Esley, puis contempla sa dataclef. 5000 crédits. Maigre pécule pour entamer une carrière, sur cette planète ou ailleurs. Médecin organique? La belle affaire, voilà qui lui prendrait son temps, son argent, sa santé, quoi encore? Les Hutts auraient tôt fait de mettre au pas ou de couler, selon leur bon vouloir, une "affaire" aussi dérisoire que la sienne. Ses notions de soins organiques en poche, au moins acquerrait-il quelques holodisques complémentaires à sa formation, et du matériel médical bon marché...

Dwen se permit un regain d'optimisme en songeant que la finalité de sa peine valait bien quelques sacrifices. Tard dans la nuit, il regagna son logis et s'endormit l'esprit apaisé; la tâche serait rude, mais l'espoir, sentiment réconfortant, guidait ses pensées et d'une certaine façon illuminait sa destinée incertaine, préparée dans la rigueur et la patience de ses diverses études personnelles. Fol espoir qu'il y ait un espoir de porter bienfait sur son monde, il le sait, ses yeux se ferment. Demain sera une journée de labeur et de déceptions, comme tant d'autres, mais sera un autre jour quoi qu'il advienne.


Description physique:

Dwen Urgaun, jeune homme de grande stature, mesure environ 1,86 m. Certes pour un humain de 24 ans, cette taille n'est guère impressionnante, d'autant moins que sa hauteur relative s'accommode mal d'une charpente osseuse et d'yeux globuleux. Le torse creusé, le ventre plat, les doigts saillants, tout ou presque en Dwen évoque le cadavre ambulant, exception faite de l'odeur. Là encore tout est relatif et question de capteurs olfactifs. Le jeune Urgaun, malgré son maintien voûté, accuse une démarche vive et précise que soutient un pas léger.
Dwen a un visage quasiment imberbe, les yeux bleus et très grands, le cuir chevelu fin et brun, sa coupe consiste en une raie austère sur le côté gauche de la tête, parfois sur le côté droit, petite touche de fantaisie. Bien que cela puisse réhausser son peu de charme, son regard abrupt et pénétrant, sa mine sérieuse et ses moues nombreuses et univoques déroutent l'interlocuteur avenant. Le jeune Urgaun n'impressionne guère par son apparence physique, vêtu tantôt d'une modeste tenue adaptée aux aléas du climat de Tatooine, dans des tons clairs et taillées dans des matières grossières. Dwen peut passer inaperçu comme être l'objet des regards. Pour qui n'est pas habitué à son sourire, la sortie de son humeur égale, d'aucuns disent maussade, bourrue, peut en effet surprendre. Son sourire chaleureux et sa denture régulière, son regard bienveillant à l'égard de ceux qu'il aime, le teint couperosé qui apparaît à ses joues lorsqu'il s'accorde quelque émotion, ces marques de vie contrastent avec une apparence au premier abord terne et effacée.
Dwen n'a que faire de l'esthétique vestimentaire, et se satisfait de loques en pans de tissus lourd ou de bures de voyage fades et défaites récupérées ici ou là, traitées par ses soins et réemployées à sa garde-robe.

Description psychique:

Dwen Urgaun, d'un naturel taciturne, a toutefois appris à faire preuve, de sympathie envers l'être qu'il étudie, s'il l'en estime digne. Cela lui permet de sourire quelquefois à la vie et à ceux qui lui sont chers.
Anxieux refoulé, grand calme de façade, doté d'un mental aguerri et d'une personnalité discrète, le jeune humain, constamment sur ses gardes, trahit à l'oeil avisé un manque de confiance en lui. Dwen n'aime dans l'idéal prendre une décision qu'une fois convenablement pesé le pour et le contre, et tente de demeurer impénétrable dans les situations complexes, bien qu'il puisse être en son fort intérieur pétri de doutes.
Inintelligent en matière de sentiments et de conversation légère, Dwen préfère consacrer son temps à l'apprentissage de la médecine organique. Bien sûr, Dwen rêve en tant qu'aspirant au savoir, de découvrir la galaxie et ses secrets, connaître chaque planète comme sa poche, du Noyau profond à la Bordure extérieure, dont on parle tant à la cantina. Rêves fantaisistes, plus prosaiquement, Dwen veut apporter du bien sur son monde, à sa façon, en prodiguant soins et espérance. Pour le moment il attend, élabore patiemment son heure. La gloire ne l'intéresse pas le moins du monde, et s'il aime entendre les histoires des astropilotes et tenter de discerner le récit honnête de l'anecdote chimérique, il ne veut à aucun prix devenir aussi arrogant que certains d'entre eux. Naïvement, le jeune homme se persuade que la connaissance -serait-ce là tout son génie?- peut sauver le pire malandrin. C'est son unique croyance, son seul luxe fantasque.

Race: Humain
Métier/Classe envisagé: Médecin
Planète de départ: Tatooine
Talent 1: Sens de l'observation
Talent 2: Médecin

Statistiques:

Caractéristiques:

PUI: 10 + 0
CON: 10 + 0
RAP: 10 + 2
DEX: 10 + 2
INT: 10 + 4
DIS: 10 + 0
PER: 10 + 2
CHA: 10 + 0

Bonus Compétences:


Médecine: 20
Vigilance: 15
Biologie et Chimie: 15

Projets futurs de votre personnage

Dwen Urgaun souhaite étudier en profondeur la médecine organique, puis passer avec succès les diplômes le conférant médecin.A long terme il désire fonder un établissement de soins sur Tatooine , mais conscient de ses maigres moyens financiers et peu désireux de faire appel aux Hutts ou autres investisseurs sans scrupules, il préfère se consacrer à la tâche de soigneur itinérant. Autodidacte, Dwen aimerait rencontrer l'équivalent d'un mentor médical qui lui enseigne toutes les subtilités du métier de médecin. Quand il se sentira fin prêt, ou s'il ne parvient pas à réunir suffisamment de fonds pour son projet de dispensaire gratuit, Dwen se résoudra à partir à l'"aventure" dans la galaxie.
Le jeune Urgaun désire exercer ses aptitudes, vivre sa vie tout en prodiguant ses soins à qui en a besoin. Sur un plan plus égoïste, Dwen rêve de devenir un grand érudit, persuadé - conviction inébranlable- que seul le savoir et la conscience de ses bienfaits pourra sauver jusqu'au pire des malfrats. Pour lui, préserver la vie est fondamental, et améliorer le bien-être des gens souffrants une priorité. La quête infinie du savoir pourra aussi se révéler comme indispensable à Dwen, dans le but d'améliorer le sort de ses pairs, et l'amènera à des dilemmes moraux.
D'une manière générale, Dwen a le projet -peut-être pas si utopique- de distiller comme il le pourra un peu de bien dans son entourage et les milieux qu'il fréquentera.

[Dwen Urgaun]

Bonjour, j'aimerais avoir un premier avis sur mon histoire et ma fiche. Je la trouve un poil cliché et pas assez descriptive, qu'en pensez-vous de votre côté?

A bientôt!


EDIT: bon, déjà je viens de trouver un bon gros point à reprendre: le coup de la formation; ça colle pas, je dois déjà être médecin, d'après ce que j'ai pu lire dans les règles, c'est ingérable en jeu autrement.

[BeetleJuice]

Euh, au final, l'histoire est finalisée ou pas?

[Dwen Urgaun]

Non, non, quelques points qui ne collent pas entre eux, puis le coup de l'orphelin de l'espace c'est un poncif du genre... je bosse dessus. . Moi et moi-même on se creuse pour créer un BG original pour un perso médecin/ gentil. Voilà, en gros. Merci quand même d'y avoir jeté un oeil!

[BeetleJuice]

Ok, préviens quand ça sera fini.